Le prêche du vendredi consacré au prophète Mohammad (QSSSL)

Le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs a appelé, les imams à consacrer le prêche du vendredi, au prophète Mohammad (QSSSL) en mettant en avant sa noblesse et sa loyauté, « reflet de la perfection humaine dans sa plus belle conception ».
La majorité des mosquées algériennes ont suivi donc l’appel du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, le prêche du vendredi a constitué une occasion pour condamner les caricatures attentatoires au prophète Mohammad (QSSSL), dans un contexte spirituel et national particulier, coïncidant avec la célébration du Mawlid Ennabaoui Echarif en ce mois de janvier, tout au long duquel seront prônées les hautes et nobles valeurs véhiculées par notre prophète Mohammad (QSSSL), depuis la publication par un journal danois en 2006 des caricatures attentatoires au prophète.
Les imams ont rappelé un ensemble de valeurs et de principe, ils ont précisé que rien ne justifie une atteinte à notre créateur, ni à la meilleure de ses créatures, Mohammad (QSSSL), affirmant que les actes terroristes ayant ciblés certains sites en Occident n’ont pour origine aucun fondement, ni dans la charia’a ni au niveau d’aucune institution musulmane ! « Ils ont également rappelé que le terrorisme n’a ni religion, ni race. Pourquoi faut-il que l’Islam assume seul la responsabilité de ce qui s’est passé ? ».
Le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs avait précisé dans son instruction que le prêche « doit appeler à l’unité autour des nobles valeurs que nous a transmises notre prophète (QSSSL) », le ministère a également demandé aux imams de lancer un appel aux musulmans pour se garder de publier ces caricatures, de les imprimer ou les diffuser sur les réseaux sociaux.
Il a souligné l’impératif pour les imams de « ne pas attiser les sensibilités », et d’appeler à la retenue et à la sagesse car « une telle provocation tendancieuse vise à susciter des réactions irraisonnées qui viendraient s’ajouter aux actes terroristes perpétrés récemment et imputés injustement à l’Islam ».
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