Le fort devoir filial accompagne le malade jusqu’au dernier souffle – Le Jeune Indépendant
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Lifestyle Santé

Le fort devoir filial accompagne le malade jusqu’au dernier souffle

Le fort devoir filial accompagne le malade jusqu’au dernier souffle

Les familles des personnes atteintes de cancer sont de plus en plus confrontées à la question de l’annonce ou pas du diagnostic établi par les médecins au malade. L’annonce risque selon eux de leur provoquer un traumatisme qui ne fera qu’aggraver leur cas. En réalité, avant le malade lui-même, c’est la famille qui désespère, notamment dans notre pays où le traitement par chimiothérapie est perçu comme un simple sursis pour le malade. 

L’idée de subir ce traitement par chimiothérapie constitue déjà un cauchemar. C’est une contrainte infernale. Le malade devient inconnaissable par les effets dévastateurs de la chimiothérapie qui cause des malformations intolérables comme la perte totale des cheveux.

A cela, il faut compter une maigreur épouvantable accompagnée d’une douleur intense. Par la vue désolante de ce parent, les proches souffrent en silence. Par devoir filial, ils ne peuvent malheureusement se détourner du malade. Ces familles accompagneront ce patient gravement atteint jusqu’au dernier souffle. 

Selon les spécialistes, à l’origine de cette maladie grave, le facteur héréditaire, en cause dans 10 % des cas, tandis que le mauvais régime alimentaire, caractérisé par la consommation de plats rapides, de conserves et de plats surgelés est en cause dans 30 à 40 % des cas, alors que l’obésité l’est dans 4 % des cas d’atteintes.

D’autres facteurs sont également considérés comme à risques, à l’instar de l’éclairage artificiel émanant des écrans des téléviseurs et des ordinateurs, ainsi que les veilles prolongées, qui peuvent à la longue détériorer les cellules du cerveau.

Les 5 points forts

L’annonce du diagnostic est un traumatisme pour le patient, créant d’abord une sidération.

La qualité de la rencontre permet de créer un cadre favorisant la sortie de ce traumatisme.

Le médecin sort de son seul savoir et le malade désire faire entendre sa propre vérité.

Il existe des mécanismes de défense, du côté du malade qu’ils protègent, du côté du médecin, qu’il doit apprendre à reconnaître.

L’annonce doit distinguer énoncé objectif et vécu subjectif : importance du non-verbal, choix des mots, être attentif à l’autre et à ses propres réactions.

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