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Nationale

Droits de l’homme: L’Algérie maintien le cap

Droits de l’homme:  L’Algérie maintien le cap

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, célébrée chaque 10 décembre, plusieurs hauts responsables gouvernementaux ont réitéré, mardi dernier, l’engagement de l’Etat à promouvoir et protéger les libertés fondamentales.

Le président du Conseil de la nation, Azouz Nasri, a publié, ce mercredi, un message sur le réseau social X, dans lequel il assure que l’Algérie « réaffirme son engagement à protéger les droits et les libertés et à préserver la dignité du citoyen, conformément aux principes de légalité et de l’Etat de droit ». Il a aussi soutenu que l’Algérie « rejette fermement la politique du deux poids, deux mesures ainsi que toute instrumentalisation politique ou sélective de la question des droits de l’homme ». Selon ses propres termes, ces droits constituent des « valeurs universelles » qui doivent être respectées « loin de toute considération étroite ».

Lors d’une cérémonie dédiée à cette journée, organisée à Alger, le président du Conseil national des droits de l’homme (CNDH), Abdelmadjid Zaalani, a estimé que l’Algérie avait « franchi de grands pas en matière de droits humains ». Il a affirmé que ces « avancés » puisent leurs fondements dans la Déclaration du 1er novembre 1954.

Le même responsable a, en outre, souligné les mesures faites dans le cadre de la Constitution de 2020 qui, selon lui, a1 initié « une révision des lois en faveur de la démocratie et du respect des droits individuels et collectifs ». Il a, de surcroît, salué les décisions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, concernant la jeunesse, les droits des femmes et la consécration du droit des citoyens à l’eau et à la nourriture.

Le président du CNDH a également indiqué que l’Algérie avait ratifié moult conventions internationales garantissant « la protection des libertés, notamment celles relatives à la liberté d’expression et à la création d’associations ». De son côté, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Lotfi Boudjemâa, a déclaré, en cette circonstance, que la Déclaration universelle des droits de l’homme constitue « la pierre angulaire » des systèmes juridiques. Dans ce sillage, il a avancé que « l’Algérie s’appuyait sur ces principes pour poursuivre ses efforts en matière de promotion des droits des citoyens, en conformité avec la Constitution ».

Le ministre a aussi fait ressortir « l’engagement du pays à respecter ses obligations internationales ». Il a, à cet égard, évoqué la présentation périodique par l’Algérie de rapports devant les instances de l’ONU, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, en matière de transparence quant à l’application des conventions ratifiées. « Le nouveau code de procédure pénale consacre les principes de légalité, garantit un procès équitable, protège la dignité humaine, promeut les droits et libertés, et renforce les mécanismes de lutte contre la criminalité grave », a-t-il relevé par rapport à son secteur.



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