Théâtre national algérien: Prix du meilleur texte en hommage à Abdelkader Alloula – Le Jeune Indépendant
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Culture

Théâtre national algérien: Prix du meilleur texte en hommage à Abdelkader Alloula

Théâtre national algérien:  Prix du meilleur texte en hommage à Abdelkader Alloula

Le Théâtre national Algérien (TNA) a annoncé, ce mardi, l’organisation du prix du meilleur texte théâtral adapté de l’œuvre du défunt metteur en scène et comédien Abdelkader Alloula, à l’occasion du 30e anniversaire de son décès.

Le TNA organise, « sous le patronage de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, « le prix du meilleur texte théâtral » adapté de son œuvre éternelle, indique un communiqué du TNA publié sur sa page officielle, soulignant que le texte lauréat de ce concours « sera produit par le TNA » a indiqué un communiqué de l’établissement.

Les candidats intéressés par cette initiative sont invités à déposer un dossier de participation sur l’e-mail du TNA: [email protected], et ce avant la date du 28 février prochain.

La personnalité et l’œuvre théâtrale d’Abdelkader Alloula, assassiné à Oran il y a 28 ans, ont constitué une source d’inspiration et un exemple à suivre pour un grand nombre de jeunes comédiens.

Abdelkader Alloula, victime d’un attentat le 10 mars 1994 alors qu’il se rendait lors d’une soirée du mois de ramadhan au théâtre d’Oran pour donner une conférence, fut très proche des jeunes, comme le souligne sa veuve Radja Alloula.

Homme de théâtre, il a su donner au 4ème art national une nouvelle dimension aussi bien dans la forme que dans le contenu, en intégrant des formes d’expression puisées du terroir, à l’exemple de la « Halqa » et du « Goual », en utilisant la musique, la lumière, le décor, l’expression corporelle comme éléments fondamentaux de la dramaturgie.

Abdelkader Alloula, natif de Ghazaouet (Tlemcen) a fait ses études de dramaturgie et des arts de spectacle à Paris (France), avant de commencer la pratique théâtrale durant les années cinquante. Il fut l’un des premiers, aux côtés d’Ould Abderrahmane Kaki à intégrer Le goual dans le théâtre de la Halqa.

Il avait notamment à son actif, entre autres, sa trilogie le « Goual » (les dires), « Lajouad » (les généreux) et « Litham » (le voile), « El Khobza », « Homk Salim », « Touffah » (les pommes), « Arlequin, valet des deux maîtres).

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