Sonelgaz : Les nouvelles exigences de l’intégration nationale  – Le Jeune Indépendant
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Energies

Sonelgaz : Les nouvelles exigences de l’intégration nationale 

Sonelgaz : Les nouvelles exigences de l’intégration nationale 

Le groupe Sonelgaz participe grandement à l’augmentation du taux d’intégration nationale et ce dans plusieurs secteurs. Cela a été démontré lors du Forum national sous le thème « L’intégration nationale au cœur de la stratégie de Sonelgaz », où ont été mises en avant la collaboration de Sonelgaz avec plusieurs départements ministériels, lesquels ambitionnent de renforcer davantage la collaboration.

Le Groupe Sonelgaz se veut en effet un outil pour développer la sous-traitance et augmenter le taux d’intégration nationale dans les différents secteurs, notamment à travers de nombreuses conventions signées avec les différents ministères et instances en vue de renforcer la politique d’intégration nationale. 

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari qui s’est exprimé à l’occasion du Forum sur l’intégration nationale au cœur de la stratégie de Sonelgaz  a annoncé la présentation de deux prototypes, dans les semaines à venir, d’un détecteur de fuite du monoxyde de carbone et d’une batterie au lithium pour le stockage d’énergie solaire, dans le cadre de la convention signée en 2022. 

Le ministre a également proposé la création d’une joint-venture entre le secteur de l’Enseignement supérieur, avec ses diverses structures, et Sonelgaz pour « la modélisation, la fabrication et la commercialisation des produits vers l’étranger, améliorant ainsi la balance commerciale nationale », soulignant la mobilisation de tous ses centres et ses laboratoires de recherche pour répondre aux exigences de Sonelgaz.

Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yacine El-Mahdi Oualid a de son côté annoncé le lancement, à l’avenir, de projets collaboratifs avec le Groupe Sonelgaz concernant les compteurs intelligents et les réseaux intelligents « Smart grids » qui nécessitent de changer radicalement les infrastructures et de recourir aux dernières technologies à même de moderniser les ressources énergétiques, rappelant les conventions signées précédemment avec Sonelgaz pour développer le détecteur de fuite du monoxyde de carbone.

Le groupe Sonelgaz recourt souvent dans le cadre de la sous-traitance aux micro-entreprises notamment concernant le réseau de distribution, a encore fait savoir le ministre.

La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fazia Dahleb a affirmé pour sa part que le groupe Sonelgaz sera le principal partenaire pour accompagner les projets liés à l’organisation, le recyclage et la valorisation des déchets à la faveur des moyens locaux de manière a garantir les normes techniques et environnementales dans le respect des lois en vigueur.

Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yassine Merabi a de son côté indiqué que le secteur accorde un intérêt au domaine de l’énergie. Il a fait savoir que sur 23 filières, une filière liée à l’électricité et l’électronique composée de 40 spécialités dont des spécialités sur les énergies renouvelables.

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