Réouverture de la plateforme: « Minhati » pour les retardataires

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé la réouverture de la plateforme électronique Minhati pour les retardataires qui n’ont pas encore soumis leur demandes de bourse en ligne au titre de l’année universitaire 2023/2024, laquelle devra être versée le 18 de chaque mois.
Dans un communiqué rendu public, mercredi, le ministère a précisé que « la plateforme électronique Minhati est ouverte pour les étudiants retardataires qui n’ont pas soumis de demandes de bourse en ligne durant la période initiale ».
Les étudiants inscrits peuvent connaître sur cette même plateformes le résultat de l’étude de leur dossier, s’il est accepté, rejeté ou Incomplet. Les étudiants dont les dossiers auront été acceptés recevront une lettre précisant qu’ils peuvent bénéficier de la bourse dans les délais précisés.
Les étudiants peuvent accéder à la plateforme en saisissant l’année d’obtention du baccalauréat et le numéro de diplôme pour le nom d’utilisateur. Le mot de passe correspond à leur date de naissance.
Pour ce qui est du processus de renouvellement du dossier de bourses pour les anciens étudiants, le ministère a fait savoir qu’il a été lancé via la plateforme Progress au début du mois novembre, dans le cadre de la politique zéro papier lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Les anciens étudiants, explique le ministère, peuvent s’inscrire également sur la même plateforme qu’utilise les nouveaux étudiants , et tous leurs comptes sont activés.
La plateforme « Minhati » a été lancé, faut-il le souligner, dans le cadre des efforts du ministère visant à parvenir à « 0 papier ». Elle est dédiée aux étudiants bénéficiaires de la bourse universitaire, laquelle sera versée le 18 de chaque mois, en vue de leur permettre de déposer leur dossier en ligne.
Cette démarche permet, selon le ministère de « faciliter le lien entre les étudiants et l’administration à travers la numérisation des procédures, et la mise en place d’une bonne gouvernance dans la gestion des œuvres universitaires », rappelant, par là même, l’existence de « 46 autres plateformes créées au profit du ministère de l’Enseignement supérieur.
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