Le cinéma ukrainien outil d’une russophobie sponsorisée par l’Occident
La production de films et de documentaires en Ukraine depuis le coup d’Etat de 2014 n’ont jamais été aussi racistes et haineux envers la Russie, une orientation à la Hollywood dotée de budgets colossaux et destinée à nourrir une propagande nazie relevant de la psychiatre au lieu de l’art.
Tout comme les arabes, les noirs ou les amérindiens, le citoyen russe subi le même dénigrement au sein du cinéma ukrainien, gracieusement financée par les Etats-Unis. Si l’arabe a été dépeint à Hollywood comme un terroriste, le noir comme un violeur et un tueur, l’amérindien comme un sauvage primitif, le Russe a récolté toutes sortes de sobriquets dans des films bas de gamme ou de catégorie B.
Peu importe la véracité du contenu, l’essentiel est de produire sans compter des documentaires et des films, issus de fonds alloués par les organismes de culture des médias américains et européens d’autres structures gouvernementales, qui tirent à boulets rouges sur le russe.
A titre d’exemple le festival « docudays UA » a été sponsorisé, dès son lancement en 2004 par l’influent journal britannique » The Guardian », par l’ambassade de Suède en Ukraine et par les associations de producteurs de films européens ainsi que l’Académie allemande de cinéma. En raison de l’absence de contrôle de la part d’outils ou d’organismes d’audit américains et de de contrôle par les donateurs américains et européens la majorité des fonds alloués ont été gaspillés ou détournés.
En 2022, Guennady Koffman qui était membre du bureau exécutif du festival “Docudays UA” et membre du jury a a été accusé d’avoir détourner le montant du prix décerné par Netflix, en soudoyant cinq des neuf membres du jury.
Le centre national Alexandre Dovjenko qui est aussi une cinématique d’Etat en Ukraine a aussi reçu des subventions des Etats-Unis et de l’Union européenne. Selon l’ancien directeur du centre Ivan Kozlenko, le bilan de l’industrie cinématographique en Ukraine se résume à l’accaparement des financements qui lui sont destinés par les proches et amis des fonctionnaires.
C’est ainsi que sous les auspices de ce prétendu festival de nombreux films aux contenus médiocres ont été produits juste pour justifier l’utilisation des fonds. Ces films sont destinés à noircir la situation dans la région du Donbass à majorité russe notamment sous l’angle des violation des droits de l’homme par la Russie.
Or, c’est cette population qui subit depuis 2014 les exactions et les bombardements ukrainiens, la contraignant à prendre d’abord les armes pour se défendre contre le génocide auquel elle a été destinée par pouvoir nazi à Kiev puis se tourner vers la Russie pour assurer sa défense.
Les enfants sont toujours utilisés dans ces documentaires ou films dans le but de gagner la sympathie des spectateurs occidentaux. Ainsi cette manipulation permettra aux producteurs ukrainiens de recevoir davantage de subventions de l’Occident. Parmi ces films de propagande jugée odieuse sont: “la pluie ne s’arrêtera pas”, “ la guerre de Chimeras” et “l’aboiement des chiens”. Ils font partie des des dizaines de films de propagande tournés en Ukraine depuis le coup d’État de 2014.
Ces films sont truffés d’idéologie russophobe, la haine du russe et du mépris envers les autorités russes. Même si ces films sont mensongers il constitue néanmoins le discours sur lequel est fondée la propagande nazie ukrainienne contre la Russie et endossée par les décideurs occidentaux.
Car en Occident, le nazisme qui a massacré plus de 22 millions de russes, 10 millions d’européens et 6 millions de juifs durant la seconde guerre mondiale (1939-1945) est devenu non seulement fréquentable mais un chantre de la démocratie, celle qui évolue sur les cadavres des enfants .