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Nationale

L’Algérie la plus vigilante contre le terrorisme

L’Algérie la plus vigilante contre le terrorisme

Quelques années après l’attaque terroriste contre le site de Tiguentourine, le monde confirme la justesse de la décision algérienne de prendre d’assaut les auteurs de la prise d’otages dans le site gazier d’In Amenas.

Les attentats terroristes perpétrés par Daech et Al Qaïda dans plusieurs pays du monde, dont la France, rappellent l’attaque perpétrée en janvier 2013 contre le site gazier de Tiguentourine et la décision prise par l’Algérie de ne pas négocier avec les preneurs d’otages. Juste après l’assaut donné par l’Armée nationale populaire (ANP) contre les auteurs de la prise d’otages, certains pays ont critiqué la décision algérienne.

Nombre de ces pays avaient même dit qu’ils auraient préféré que l’Etat algérien « négocie » avec les terroristes auteurs de cette attaque. Les attentats perpétrés à Paris vendredi dernier confirment que « négocier » avec les terroristes ne sauve pas des vies.

Déterminés à faire le maximum de victimes, les terroristes pourraient utiliser les « négociations » pour exercer des pressions sur les Etats, obtenir des rançons et la libération de leurs acolytes détenus dans des prisons. Leur capacité de nuisance sera donc renforcée. Les organisations terroristes seraient également « encouragées » quand elles obtiennent des concessions et prépareraient d’autres attentats.

Le choix de l’Algérie de ne pas négocier avec les terroristes ne peut en aucune manière encourager ceux-ci. Le nombre de morts enregistré suite à l’assaut donné par l’ANP contre les terroristes preneurs d’otages du site gazier de Tiguentourine est inférieur à celui de la prise d’otages à Paris vendredi dernier. Loin de verser dans des calculs arithmétiques macabres, il faut dire que le nombre de morts dans la prise d’otages de Tiguentourine aurait été largement supérieur.

A noter, d’autre part, que plusieurs pays, dont la France, l’Angleterre et le Japon, qui ont dépêché des équipes sur les lieux de l’attentat contre le site gazier d’In Amenas, ont bénéficié d’informations précieuses sur les méthodes utilisées par les terroristes dans leurs attaques criminelles.

Ces pays et d’autres qui comptaient des morts parmi les victimes de cette attaque avaient, par la suite, salué l’action de l’ANP. Les terroristes étaient, rappelle-t-on, de plusieurs nationalités. Plusieurs pays étaient donc concernés par les informations relatives à l’enquête menée par les services de sécurité algériens sur cet attentat.

Les terroristes, de différentes nationalités, pouvaient sévir dans leur pays, ce qui explique l’intérêt accordé par les pays concernés aux informations. Le nombre de terroristes algériens impliqués dans cette attaque était réduit. Comme est réduit le nombre de terroristes algériens sévissant au sein de l’Etat islamique en Syrie.

Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue arabe, Abdelkader Messahel, a annoncé, il y a quelques jours, que 100 Algériens se trouvent dans les rangs de l’organisation terroriste. Un nombre nettement inférieur à ceux des autres pays.

Les Français comptent 500 terroristes dans les rangs de Daech et d’Al Qaida. Les Tunisiens en compteraient 3 000, les Libyens des milliers et les Tchétchènes 4000. Daech et Al Qaïda en Syrie et en Irak compteraient des dizaines de milliers de terroristes arrivés de plusieurs pays, dont des pays européens.

Cela démontre que Daech et Al Qaïda arrivent difficilement à « enrôler » des Algériens. Ces organisations terroristes recourent, même dans leurs attentats en Algérie, comme celui de Tiguentourine, à des éléments d’autres nationalités.
C’est pour cette raison et grâce aux efforts de l’ANP et des services de sécurité que Daech et Al Qaïda peinent à constituer des réseaux en Algérie.

Quelques années après l’attaque terroriste contre le site de Tiguentourine, le monde confirme la justesse de la décision algérienne de prendre d’assaut les auteurs de la prise d’otages dans le site gazier d’In Amenas.

Les attentats terroristes perpétrés par Daech et Al Qaïda dans plusieurs pays du monde, dont la France, rappellent l’attaque perpétrée en janvier 2013 contre le site gazier de Tiguentourine et la décision prise par l’Algérie de ne pas négocier avec les preneurs d’otages. Juste après l’assaut donné par l’Armée nationale populaire (ANP) contre les auteurs de la prise d’otages, certains pays ont critiqué la décision algérienne.

Nombre de ces pays avaient même dit qu’ils auraient préféré que l’Etat algérien « négocie » avec les terroristes auteurs de cette attaque. Les attentats perpétrés à Paris vendredi dernier confirment que « négocier » avec les terroristes ne sauve pas des vies.

Déterminés à faire le maximum de victimes, les terroristes pourraient utiliser les « négociations » pour exercer des pressions sur les Etats, obtenir des rançons et la libération de leurs acolytes détenus dans des prisons. Leur capacité de nuisance sera donc renforcée. Les organisations terroristes seraient également « encouragées » quand elles obtiennent des concessions et prépareraient d’autres attentats.

Le choix de l’Algérie de ne pas négocier avec les terroristes ne peut en aucune manière encourager ceux-ci. Le nombre de morts enregistré suite à l’assaut donné par l’ANP contre les terroristes preneurs d’otages du site gazier de Tiguentourine est inférieur à celui de la prise d’otages à Paris vendredi dernier. Loin de verser dans des calculs arithmétiques macabres, il faut dire que le nombre de morts dans la prise d’otages de Tiguentourine aurait été largement supérieur.

A noter, d’autre part, que plusieurs pays, dont la France, l’Angleterre et le Japon, qui ont dépêché des équipes sur les lieux de l’attentat contre le site gazier d’In Amenas, ont bénéficié d’informations précieuses sur les méthodes utilisées par les terroristes dans leurs attaques criminelles.

Ces pays et d’autres qui comptaient des morts parmi les victimes de cette attaque avaient, par la suite, salué l’action de l’ANP. Les terroristes étaient, rappelle-t-on, de plusieurs nationalités. Plusieurs pays étaient donc concernés par les informations relatives à l’enquête menée par les services de sécurité algériens sur cet attentat.

Les terroristes, de différentes nationalités, pouvaient sévir dans leur pays, ce qui explique l’intérêt accordé par les pays concernés aux informations. Le nombre de terroristes algériens impliqués dans cette attaque était réduit.

Comme est réduit le nombre de terroristes algériens sévissant au sein de l’Etat islamique en Syrie. Le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue arabe, Abdelkader Messahel, a annoncé, il y a quelques jours, que 100 Algériens se trouvent dans les rangs de l’organisation terroriste. Un nombre nettement inférieur à ceux des autres pays.

Les Français comptent 500 terroristes dans les rangs de Daech et d’Al Qaida. Les Tunisiens en compteraient 3 000, les Libyens des milliers et les Tchétchènes 4000. Daech et Al Qaïda en Syrie et en Irak compteraient des dizaines de milliers de terroristes arrivés de plusieurs pays, dont des pays européens.

Cela démontre que Daech et Al Qaïda arrivent difficilement à « enrôler » des Algériens. Ces organisations terroristes recourent, même dans leurs attentats en Algérie, comme celui de Tiguentourine, à des éléments d’autres nationalités. 

C’est pour cette raison et grâce aux efforts de l’ANP et des services de sécurité que Daech et Al Qaïda peinent à constituer des réseaux en Algérie.

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