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Monde

La manœuvre occidentale contre la Chine balayée à l’ONU

La manœuvre occidentale contre la Chine balayée à l’ONU

La litanie des accusations occidentales contre la Chine s’agissant de la question du Xinjiang est devenue lassante à force de ressasser le même cassandre creux. Les États-Unis, la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont organisé, le 12 mai, avec des organisations non gouvernementales, une conférence sur la situation des droits de l’homme en Chine et au Xinjiang, en ayant recours à l’usage abusif et déconsidéré des plateformes des Nations Unies, faisant croire qu’il s’agit d’une initiative onusienne.

Comme à leurs habitudes, ces pays occidentaux ont propagé des mensonges et de fausses informations au cours de cette conférence orientée, criant à nouveau au « génocide ethnique » et au « travail forcé », dans le but d’épingler la Chine, un pays qui force est de constater a fait un pas de géant dans le développement économique, au demeurant, qui agace les pseudos tenants de la morale de l’humanité.
Quiconque est au fait de l’histoire du Xinjiang n’ignore pas que la lutte contre le terrorisme et la radicalisation constitue l’essentiel de la question liée au Xinjiang. Cela n’a aucun rapport avec les prétendus droits de l’homme qu’évoquent quelques pays occidentaux. Mais s’ils veulent parler des droits de l’homme, voici quelques exemples.

En ce qui concerne la lutte contre l’épidémie de COVID-19, le porte-parole de la Mission permanente de la Chine auprès des Nations Unies a donné quelques chiffres : il y a eu seulement 980 cas confirmés et 3 décès parmi les 25 millions d’habitants au Xinjiang. Par contre, le nombre de décès avoisine 600 000 aux Etats-Unis, 120 000 au Royaume-Uni et plus de 80 000 en Allemagne. Ces pays, incapables de garantir le droit à la vie à leur propre peuple, ont-ils le droit de critiquer la situation des droits de l’homme au Xinjiang ou ailleurs dans le monde ?

Il est évident que ces pays occidentaux ne représentent pas les Nations Unies encore moins la communauté internationale en dépit de leurs tentatives éhontées visant à trainer quelques pays sous leurs escarcelles.
Lors de la 46e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, tenue en février-mars, plus de 80 pays, y compris des pays islamiques tels que l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, ont pris la parole pour exprimer leur soutien à la position de la Chine sur les questions liées au Xinjiang. Lors de la récente réunion des ministres des Affaires étrangères de la Chine et de cinq pays d’Asie centrale, ces derniers ont fermement défendu la Chine en qui concerne la sauvegarde des intérêts fondamentaux du pays et se sont opposés à l’ingérence dans les affaires intérieures de la Chine.

À l’heure actuelle, il y a de plus en plus de voix objectives qui se font entendre partout à travers le monde. C’est le cas de nombreux médias en Australie, au Brésil, à Singapour, ou encore en Suède qui mettent en lumière dans leurs publications, les succès enregistrés au Xinjiang dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ces médias dénoncent le complot géopolitique parrainés par Washington et ses alliés visant à contenir la Chine par le biais du Xinjiang.

C’est dans ce sens que la Fondation suède pour la paix et la recherche future et le site web indépendant américain Counterpunch n’ont pas hésité à décrire les rhétoriques du « travail forcé » et du « génocide » au Xinjiang comme des accusations sans fondement.
Dans ce même ordre d’idées, le chercheur danois Jan Oberg a souligné dans une récente interview accordée à China Media Group que les forces occidentales concoctaient leur reportage sur Xinjiang, en se référant aux idées de la guerre froide, pour faire plaisir à quelques groupes d’intérêt basés aux États-Unis dont l’hostilité vis-à-vis de la Chine n’est plus à démontrer. Ces médias veulent « diaboliser » systématiquement la Chine.

Aucun mensonge ne peut durer longtemps sans qu’il ne soit mis à nu. A ce jour, on en sait un peu plus sur les motivations de certains médias occidentaux sur la Chine. Voilà qu’il y a quelques jours, une femme que CNN a voulu présenter comme « rescapée du génocide » au Xinjiang, n’a pas bien assimilé les mensonges mis dans sa bouche. Surprise ! On découvre que son passeport chinois a été renouvelé durant la période où elle prétendait être arrêtée. Curieusement, dans son reportage, CNN a pris tout le soin de masquer la partie du passeport où la date est généralement reprise. « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose », dit un adage occidental, qui a visiblement confondu CNN dans ses montages.

Quels que soient les moyens auxquels recourent ces pays occidentaux, pour faire passer le noir pour le blanc, ce cirque politique rempli de mensonges au sein des Nations Unies est voué à l’échec. Ces pays, qui persistent sur la voie des mensonges, perdent déjà en crédibilité et surtout ne peuvent pas freiner la Chine dans son élan de bâtir un monde multilatéral qui profite, dans la paix, à tous et non pas à un seul bloc dominant et grossièrement prédateur.

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