Élections FAF - candidats à la candidature : Walid Sadi vous salue bien ! – Le Jeune Indépendant
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Élections FAF – candidats à la candidature : Walid Sadi vous salue bien !

Élections FAF – candidats à la candidature : Walid Sadi vous salue bien !

Sadi sera, quoi qu’il arrivera et c’était même écrit, le futur président de la Faf pour ce qui reste du mandat ouvert par Zetchi que Amara puis Zefizef n’ont pu terminer. Il le sera une fois les recours étudiés puis, plus que probablement, rejetés. 

Un processus en livre ouvert. On pensait la course à Dely Brahim réduite à un duel à deux. Finalement, Medouar, démentant certains canaux, reste candidat à la candidature. Qui alors d’Ighil, Medouar bien sûr, et Sadi était le plus proche de la ligne d’arrivée ? L’ex-manager général de l’E.N, Sadi, qui se présentera en unique postulant devant l’AG Elective prévue le 21 est sûr (il n’en a jamais douté, qu’il prendra les rênes de la Faf en succédant à Djahid Zefizef.

Remarque, le délai exceptionnel, d’une semaine, accordé par la commission électorale aux candidats en lice aux élections de la FAF n’aura été que de la poudre aux yeux. Histoire de prolonger un suspense qui n’en était plus un. En fait de nouveauté, la structure présidée par Ali Malek n’a fait que gagner du temps pour nous vendre, enveloppée d’essence « démocratique », une marchandise périmée que toutes les rumeurs circulant dans les couloirs des rédactions avaient déjà mise sur le marché. Gratuitement. Ceux qui attendaient des surprises, auront eu pour leur grande patience.

Plus que Sadi donc. Rien de ce qu’on ne savait déjà parce que tout le monde en parlait. Savait l’affaire pliée. Il reste, sans trop de conviction (il ne faut pas croire au miracle comme il faut arrêter de prendre les enfants du Bon Dieu pour ce qu’ils ne sont pas) Ighil et Medouar étant appelés à aller se rhabiller, dixit la formalité de ce qui a pour nom « recours », soit le denier acte d’un scénario apparemment écrit à l’avance.

Un verdict cousu main. Qu’on expliquait dans notre édition de jeudi où l’on parlait de confusion en attendant l’éclaircie de vendredi. Qui ne viendra évidemment pas, Medouar et Ighil se retrouvant « automatiquement » hors-jeu car « ne remplissant pas les conditions exigées, le premier pour défaut de diplôme universitaire, le second avec un problème de mandatement et de « faute sportive grave ».

Les deux dossiers « logiquement » rejetés même si, et contrairement à Medouar, l’ancien sélectionneur national entretiendra l’illusion et semblait, écrivions-nous, avoir « trouvé la parade (deux en somme) avec l’ouverture de deux petites fenêtres en prenant la présidence de l’AAIF (rejetée par la force de la loi) avant de se rabattre sur le Paradou AC avec un mandatement tournant à un grand coup d’épée dans l’eau, la même loi exigeant notamment « une année d’activité justifiée au sein d’un conseil d’administration. » Pour ces raisons liées à la règlementation (seulement ?), le tandem Ighil- Medouar est recalé avec possibilité de faire appel.

Mais les jeux sont finalement faits. L’étaient bien avant que ne débute réellement à la course à la succession de Zefizef ? C’est un pas que nous n’osons pas franchir. Au fait, Sadi possède-t-il un diplôme (et non un niveau) universitaire ? Ali Malek et sa commission peuvent-ils éclairer notre lanterne. Confusion que tout cela…    

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