Conflit MC Alger- CSA Mouloudia d’Alger : La convention enfin (et fin ?) signée ! 

La bonne nouvelle est sortie des bureaux du siège de la société par actions. Elle dit que la convention entre le MCA et le CSA a été enfin signée. Rien de plus. Rien, en gros, n’a filtré sur ce qui été fait ou va se faire

Ils sont des dizaines d’athlètes, toutes disciplines et catégories d’âges confondues et activant sous la bannière Verte et Rouge, à souffler momentanément. A espérer voir à nouveau la lumière et pouvoir retrouver les terrains au plus vite. De l’espoir seulement apparemment, nous disent quelques voix que, tant qu’on ne connaît pas ce qui a été décidé et en quels termes les deux parties se sont quittées après avoir signée la fameuse convention sujette à « incompréhension ». 

La SSPA Le Doyen et le CSA Mouloudia d’Alger ont finalement décidé de retrouver la raison en signant le fameux document qui s’est fait tant désirer et ce, après avoir mis en danger l’avenir de véritables fleurons des Sports-Co en Algérie, même si les deux parties ont consenti à se mettre autour d’une table pour sauver ce qui restait à sauver car il y avait urgence absolue à régler les contentieux en suspens. Dans ou sous quelles conditions la décision a été rendue possible ? On ne tardera pas à le savoir et un simple communiqué, à défaut d’une conférence de presse conjointe SSPA Le Doyen- CSA Mouloudia d’Alger, pourrait faire l’affaire et rassurer un peu tout le monde.

A commencer pour la section football qui, si le onze fanion avait toutes les raisons de croire à une grande saison 2023-2024 après l’effort financier sans précédent fait par la direction du président Redjem pour attirer bien des grands noms à l’image de Benlamri, Belaïli et autres, mais restait sous la menace d’une décision préjudiciable de la part de la Faf tant que cette convention obligatoire n’était pas signée comme le stipulent les règlements régissant la compétition nationale. 

Pour rappel, si le MCA, lors du mandat de Medouar à la tête de la LFP a pu (eu la chance) entrer en possession des licences lui ouvrant le droit de s’engager pour l’actuel exercice de Ligue1 professionnelle, il le doit à un simple accord verbal que l’actuelle équipe à la tête de la Faf (Sadi notamment), selon certaines sources proches de Dely Brahim, n’apprécierait pas tellement.

Pour couper court à toutes les rumeurs et clore définitivement le dossier, les deux parties seraient bien avisées de rendre publiques les nouvelles conditions ayant permis la signature de ladite convention, le public du grand club algérois comme l’opinion sportive, ont bien le droit de savoir. Les deux entités pourront donc, après un long bras de fer, se concentrer à nouveau sur l’essentiel : leurs objectifs sportifs