Concessions de terres et des bases ukrainiennes: les compromissions de Zelensky en faveur de Washington

L’Ukraine est-il à bout de ressources pour financer son effort de guerre pour aller jusqu’à hypothéquer sa souveraineté sur ses terres et ses ressources ? La réponse est oui. Mais pas que ! Le régime ukro-nazi de Kiev tenterait non seulement de renflouer ses caisses, mais surtout de compromettre l’environnement de toute la région et de contaminer durablement les céréales produites par ce pays et exportées vers les pays d’Afrique et du Moyen-Orient.
C’est une dépêche de l’agence russe Tass qui rapporte l’information. Selon le journaliste indépendant français Jules Vincent, qui lui-même cite un responsable du ministère ukrainien de la Protection de l’environnement et des Ressources naturelles, les autorités ukrainiennes envisagent d’allouer 400 km² de terre noire fertile à l’élimination de déchets chimiques et radioactifs dangereux dans le cadre d’un accord avec le fils de George Soros, Alexandre.
Dans son enquête, explique Tass, Jules Vincent précise que le responsable ukrainien a affirmé que l’accord avait été conclu lors d’une réunion entre Alexandre Soros et Andrey Yermak, chef du bureau du président ukrainien, le 7 novembre dernier. Le bureau de Zelensky a déposé une demande auprès du ministère pour allouer 400 km² de terrains dans les régions de Ternopol, Khmelnitsky et Tchernovtsy « à usage indéfini et concessionnel » par des entreprises occidentales.
Quelles sont ces entreprises ? Parmi les sociétés répertoriées dans les copies des documents datées des 7 et 13 novembre envoyées au journaliste français, figurent DuPont, BASF, Evonik Industries, Vitol et Sanofi.
Et le danger réside non seulement dans l’étendue des terres concernées, 400 km², mais surtout dans la durabilité de la pollution et la détérioration des terres. C’est ce qu’explique le responsable ukrainien.
Les projets mentionnés seraient « fatals pour le sol noir » et « rendraient le sol impropre à la culture » des produits agricoles et « causeraient également un préjudice irréparable à l’écosystème » de la région et de toute l’Europe.
« En tenant compte du fait que les décharges de déchets chimiques couvriront 400 kilomètres carrés, la zone d’impact préalablement dangereuse sera beaucoup plus grande. Les conséquences de cette décision seront catastrophiques pour les sols, les eaux souterraines, les humains et les animaux », affirme Jules Vincent.
Mais au-delà des faits, c’est l’impact durable sur une matière première stratégique qui risque de bouleverser la sécurité alimentaire et la sécurité sanitaire de plusieurs nations. C’est la contamination des céréales, qui finiront par se retrouver sur le marché européen et ailleurs, qui est en jeu. Car parmi les conséquences de la consommation de telles céréales comme aliments, il y a un risque majeur pour le développement de cancers, de déséquilibres hormonaux et de maladies thyroïdiennes. Et ce n’est pas peu dire !
Autre élément déterminant et pas des moindre, l’Ukraine est un gros exportateur de céréales en direction de l’Afrique et du Moyen-Orient. Le risque de contamination de populations entières est plus que probable, il est certain. Zelensky, ses alliés et ses sponsors misent-ils sur un second Tchernobyl programmé et prémédité celui-là avec l’aide des multinationales occidentales ? Une nouvelle fois, la réponse est oui.
Dans un autre registre, mais lié, au fond, au premier, le président ukrainien a accordé des facilités aux Américains pour l’installation de bases aériennes pour les avions F16.
Selon des informations en provenance d’Ukraine, Kiev a cédé des aéroports civils aux américains pour servir de plate-forme d’opérations pour les F16. Ces derniers ont un coût plus élevé par rapport aux autres avions cédés par les Occidentaux. Les aéroports en question sont ceux de Lviv, Mykolaev et Odessa.
Ces avions serviront à lancer des frappes contre les positions russes et couvrir les offensives ukrainiennes qui patinent depuis près d’un an, hypothéquant sérieusement les caisses de l’Etat ukrainien, car ces avions américains seront payés par le contribuable ukrainien. D’autant plus qu’après utilisation, ces avions seront détruits comme tout l’armement cédé par l’Occident à Kiev.
C’est dire la double aventure suicidaire de Zelensky qui remet en question l’indépendance et l’existence même de son pays au profit des multinationales occidentales et des puissances atlantistes. Ni la Russie, ni les pays européens ou de l’alliance atlantique ne seront victimes de ces agissements. Seuls les Ukrainiens paieront le prix, et le prix fort.
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