Avec le cœur et l’âme des participants nationaux et invités étrangers
Comme annoncée, la clôture de la sixième édition du Festival international de musique symphonique s‘est effectuée d’une manière grandiose. Les maestros Amine Kouider d’Algérie et Rondin Mats de Suède ont donné une éclatante démonstration des nobles valeurs de la musique symphonique en dirigeant un impressionnant orchestre d e près de cent musiciens isus de tous les continents.
Ce qu’il faudrait mettre en relief dans cette sixième édition de ce festival international de musique symphonique , c’est l’esprit extrêmement d’engagement et de cohésion qui a prévalu. Commissaire en tête, organisateurs, accompagnateurs, musiciens, techniciens ont donné le meilleur d’eux même pour la réussite de cet important événement artistique annuel devenu incontournable dans l’univers culturel algérien. Le commissaire du festival, M. Abdelkader Bouazzara a déployé une intense énergie pour coordonner les activités entre les différents intervenants et assurer une parfaite programmation.Effectivement, le festival s’est déroulé dans d’excellentes conditions, permettant aux deux parties, musiciens et public, pour l’une de donner le meilleur d’eux même et l’autre d’apprécier un art musical sublime.
Les musiciens se sont en effet surpassés pour offrir avec passion, ce qu’il de bien, de noble et d’élevé dans la musique. C’est parce qu’ils ont joué avec âme et cœur qu’ils ont eu un véritable succès. Cette noble attitude a été définie par le maestro russe qui a déclaré ’’ nous ne jouOns pas la musique pour d e l’argent mais nous l’interprétons parce c’est notre raison de vivre’’.
Ainsi l’ensemble des participants ont eu la même réaction.
Ils viennent d’Allemagne, de France, d’Italie, de Chine, de Tunisie, d’Egypte, de Belgique, du Mexique, de Syrie, d’Espagne, de Pologne,de Suède.
Ils ont joué admirablement mettant tout leur talent et leurs hautes compétences artistiques. Ils ont vécu intensément leur musique pour pouvoir la transmettre et la partager avec le public. Les maestros, qu’ils soient Syrien, Chinois Suèdois, Egyptien, Russe ou Algérien comme Amine Kouider ont été sublimes dans leur direction musicale. Ils ont démontré comment entreprendre une action humaine en se donnant sans compter avec pour seul idéal l’approche de la perfection.
Le public a été en or. Il a su capter le noble message. D’un silence religieux au cous des concerts, ce public a vécu des moments intenses, ébloui par l’engagement infini des musiciens. Ce public toujours nombreux a été présente à l’ensemble des huit soirées qu’ duré le festival. Il n’ a pas été stressé vu que les concerts commencent de bonne heure pour se terminer tôt lui permettant de venir fidèlemenent le lendemain.
Tout a été préparé et étudié pour lui apporter le meilleur confort, à commencer par la salle du TNA, accueillante et également par les qualités et les hautes compétences des présentateurs dont Narriman Zehor Sadouni. Habillée d’une élégance raffinée, Narriman Zehor Sadouni a su, avec une voix mesurée et attrayante et d’une manière impeccable, garantir, selon son style, le passage sur scène de centaines de musiciens tous différents les uns des autres.