Abdelaâli Hassani Cherif : «Nous accepterons le verdict des urnes »
Abdelaâli Hassani Cherif, candidat à la présidentielle sous la bannière du Mouvement de société pour la paix (MSP), a exercé son droit de vote dans la matinée de ce samedi, à l’école primaire Slimane-Kerouch, à Birkhadem, à Alger.
Après avoir glissé son enveloppe dans l’urne, Hassani Cherif a affirmé, dans une déclaration aux médias, que quel que soit le résultat du scrutin, il respectera la décision du peuple, en affirmant que «le peuple est souverain. Nous accepterons le verdict des urnes quel qu’il soit». Il a ainsi souligné l’importance de la transparence et de l’éthique dans le processus électoral, tout en appelant à une large participation citoyenne pour garantir la légitimité des résultats du scrutin.
Dans ses déclarations, il a poursuivi que « le peuple algérien est aujourd’hui devant un scrutin important et décisif dans l’histoire du pays, à travers lequel il choisira, en toute liberté et démocratie, le meilleur programme », se disant confiant quant « au choix du peuple et de sa volonté libre de développer l’Algérie et de préserver la sécurité et la stabilité du pays ».
En outre, il a souligné avoir mené une campagne électorale « en toute responsabilité envers la patrie, le peuple et les valeurs politiques en lesquelles le MSP croit », soulignant que « ces valeurs reposent sur la liberté, la démocratie, le pluralisme et la transparence ».
Il a également mis l’accent sur le caractère « éthique » de la campagne, soulignant qu’elle avait été conduite avec un respect strict des principes moraux.
Le candidat du MSP a expliqué que son équipe avait fait un effort considérable pour rencontrer les électeurs dans toutes les régions du pays, en prenant soin de comprendre les préoccupations locales et en prenant en compte les aspects positifs, ainsi que les aspects négatifs. Selon lui, cette approche a permis de présenter un programme politique détaillé, accompagné d’alternatives concrètes aux problèmes identifiés par les électeurs.
Il a précisé que son équipe avait non seulement diagnostiqué les situations complexes auxquelles le pays fait face, mais avait aussi proposé des solutions pour des problèmes accumulés au cours des 62 dernières années. Cette approche, a-t-il expliqué, repose sur la concrétisation sur le terrain de « 62 opportunités » pour aborder les défis et les enjeux actuels.